Barclays relève un objectif clé pour 2025 mais déçoit sur ses résultats 2024
LONDRES (Reuters) – Barclays a relevé jeudi un objectif financier clé de rentabilité pour 2025 et fait état d’une hausse de 24% de son bénéfice annuel avant impôts l’an dernier, tiré par la bonne performance de la banque d’investissement et la progression des revenus de son activité domestique de prêt.
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
JE FAIS UN DON MAINTENANTA la Bourse de Londres, l’action de la banque britannique reculait toutefois de 4,89% à 292,7 pence à 09h09 GMT, parmi les plus fortes baisses de l’indice paneuropéen Stoxx 600 (+0,26%), plusieurs analystes se montrant déçus par les résultats annuels.
« Dans l’ensemble, les résultats sont solides, mais il n’y a pas grand-chose de neuf qui puisse susciter l’enthousiasme », écrivent dans une note les analystes de Citi. « A cela s’ajoute la forte hausse du cours de l’action au cours de l’année écoulée, qui pourrait tempérer toute réaction initiale ».
« Compte tenu des attentes élevées avant publication sur de bonnes surprises, des prises de bénéfices étaient peut-être inévitables », souligne pour sa part Richard Hunter, responsable des marchés chez Interactive Investor.
Le bénéfice avant impôts de Barclays est ressorti à 8,11 milliards de livres à fin décembre, contre une prévision moyenne des analystes de 8,07 milliards de livres et après 6,6 milliards en 2023.
Barclays est la première banque britannique à publier ses résultats pour 2024, une année marquée par un regain de stabilité politique au Royaume-Uni mais une perte de confiance des investisseurs internationaux après les projets de hausse des impôts du nouveau gouvernement travailliste.
La banque a dévoilé l’an dernier un plan stratégique sur trois ans destiné à relancer son cours de Bourse via des réductions de coûts et un retour accru aux actionnaires.
En 2024, le rendement des capitaux propres tangibles (RoTE) de Barclays a atteint 10,5%, en ligne avec la prévision d’un rendement supérieur à 10%.
« Nos nouvelles prévisions pour 2025, qui incluent un RoTE du groupe d’environ 11%, représentent une étape importante dans la réalisation de nos objectifs pour 2026, notamment un RoTE supérieur à 12% », a indiqué le directeur général de Barclays C.S.Venkatakrishnan cité dans un communiqué.
En 2024, les revenus de la banque d’investissement ont atteint 11,8 milliards de livres, au-dessus du consensus à 11,6 milliards, grâce à une progression de 40% des revenus liés aux actions et de 29% de ceux liés aux obligations.
(Rédigé par Chandini Monnappa à Bangalore et Sinead Cruise à Londres, version française Blandine Hénault, édité par Augustin Turpin)
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
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