Appréciez votre travail !
“Il est beau pour l’homme de… voir le bonheur dans tout le travail qu’il fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui a donnés… se réjouir de son travail, c’est là un don de Dieu.“ Ec 5. 17-18
La plupart des hommes, si on leur pose la question : “pourquoi travaillez-vous ?” répondront : “pour nourrir ma famille, élever mes enfants et leur donner un bonne chance dans la vie.” Puisque nous passons environ les deux tiers de notre vie adulte à travailler, autant apprécier ce que nous faisons, plutôt que regretter de ne pouvoir faire autre chose. Même dans le jardin d’Eden Dieu avait prévu du travail pour Adam. Nous n’avons pas été créés pour ne rien faire. Au contraire notre travail devrait glorifier Dieu.
Peut-être l’emploi que vous occupez en ce moment ne vous convient pas beaucoup. Souvenez-vous cependant que “les humains ne sont pas maîtres de leur vie. Celui qui marche n’est pas capable d’assurer ses pas” (Jr 10. 23). Dieu veut le meilleur pour vous et vous conduira vers de meilleurs horizons. Il a un plan pour votre vie et vous aidera à le réaliser. Tirez parti des expériences que vous offre votre travail aujourd’hui et trouvez votre joie à donner le meilleur pour vous-même, pour votre employeur et pour vos collègues. Votre conduite devrait glorifier votre maître : “quel que soit votre travail, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur, et non pour les hommes…” (Col 3. 23).
Et si le Seigneur devait revenir demain, faites qu’Il ne vous trouve pas oisif, ou délaissant votre travail sous prétexte que travailler ne sert pas à grand-chose. Martin Luther a dit un jour : “Si je savais que le Seigneur devait revenir demain, j’irais planter un arbre aujourd’hui.” Se réjouir de votre travail, même si vous espérez mieux demain, est un don de Dieu. David a longtemps travaillé dans l’ombre, dans la solitude, avant d’être reconnu et acclamé par le peuple d’Israël. Même sa famille le méprisait. Mais Dieu le formait loin des regards et lui permit de monter plus tard sur le trône. Prenez exemple sur lui !
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?