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En Thaïlande, quinze ans après le tsunami, des centaines de corps en attente d’identification

Quinze après le monstrueux tsunami qui a fait plus de 230.000 morts sur les rives de l’océan Indien, des centaines de victimes n’ont toujours pas identifiées en Thaïlande.

A Takua Pa, dans le sud du pays, une des régions les plus touchées par la catastrophe, le commissariat de police local conserve dans un conteneur porte-feuilles, équipements électroniques, documents divers, etc. emballés et étiquetés pour aider à l’identification de corps.

En attendant, les cadavres ont été inhumés dans des tombes numérotées.

« Il y a encore des parents de victimes, proches ou éloignés, qui gardent espoir de retrouver leurs disparus », témoigne le colonel Khemmarin Hassini, commandant adjoint de la police du district de Takua Pa.

En Thaïlande, les autorités estiment que la catastrophe du 26 décembre 2004, provoquée par un tremblement de terre surpuissant d’une magnitude de 9,1, a fait plus de 5.000 morts.

Aidée par des experts venus d’une trentaine de pays, la DVI, unité d’identification des victimes de catastrophe, a pu redonner un nom et une histoire à plus de 3.600 corps dans les deux premières années qui ont suivi la catastrophe.

Mais le temps passant, la coopération internationale a faibli. Le colonel Khemmarin, qui a participé à cette mission, souligne que de nombreux « canaux de communication (avec des experts étrangers en médecine légale et en identification) ont été fermés ».

« Mais si nous sommes suffisamment déterminés pour réactiver ces opérations, je pense que certains des 340 corps en attente d’identification pourraient l’être », ajoute-t-il.

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