Au Ghana, la Cour suprême autorise un projet de loi anti-LGBT+
Adopté en février par le Parlement, le projet de loi prévoyant jusqu’à trois ans de prison pour des personnes qui pratiqueraient des relations homosexuelles a été approuvé, mercredi, par la Cour suprême au Ghana.
La nouvelle législation anti-LGBT impose des peines pouvant aller jusqu’à trois ans de prison pour les individus participant à des activités LGBT+, et des peines de cinq à dix ans d’emprisonnement pour ceux qui sont impliqués dans la « promotion » de l’homosexualité.