Transport : Réhabilitation et aménagement de trois aéroports programmés
L’annonce a été rendu publique hier dans un communiqué du ministre des transports, Jean Ernest Masséna Ngalle Bibehe.
Il s’agit respectivement des aéroports de Bertoua, de Kribi et de Tiko.
L’initiative prescrite par le Chef de l’État s’inscrit » dans le prolongement de la mise en œuvre du programme de modernisation des infrastructures aéroportuaires engagé en prélude à la CAN 2021, déclinaison opérationnelle de la stratégie intégrée de transport multimodal du Cameroun » a indiqué le ministre du transport, Jean Ernest Masséna Ngalle Bibehe.
En juin dernier lors de la séance des réponses aux questions, devant la représentation nationale, le chef du département ministériel du transport, signalait deja que le Cameroun a mis sur pied un planning pour l’amélioration de ses équipements de transports et la construction d’autres afin de couvrir toute l’étendue du territoire national : » Je pense également à un aéroport à Kribi pour lequel les études sont en cours » avait-il révélé.
Pour réaliser ce défi, le Président de la République a instruit l’autorité aéronautique, établissement public administratif dont le rôle est d’assurer la politique de mise en œuvre de la réglementation de l’aviation civile, sous l’accompagnement de sa tutelle technique qu’est le ministère des transports, maître d’ouvrage des travaux de » finaliser, sans délai, la signature des contrats avec les entreprises sélectionnées pour leur realisation , en vue du démarrage à brève échéance desdits travaux sur les différents sites » a renseigné le communiqué du ministre.
La réhabilitation et l’aménagement de ses trois aéroports situés dans les régions de l’Est, du Sud et du Sud-Ouest va faire passer à 10 , le nombre des plateformes aéroportuaires opérationnelles dans le pays.
L’ouverture programmée de ces trois aéroports va ouvrir la porte à une meilleure attractivité du Cameroun et à une plus grande ouverture du marché national à la concurrence.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?