Paul Biya célèbre ses 90 ans dans son village
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Soutenez le Journal Chrétien en cliquant ici.Un anniversaire accompagné des célébrations diverses. Paul Biya, pour ses 90 ans, a décidé de se retirer dans le calme de Mvomeka’a, son village natal situé à 250 kilomètres environs de Yaoundé.
Sur les lieux, quelques membres de sa famille biologique, sa femme la première dame Chantal Biya et des amis.
Dans différentes villes du pays , la journée a donné lieu aux traditionnelles manifestations suivies des photos de célébration le tout accompagnées d’un somptueux gâteau pour la circonstance.
A Yaoundé, c’est le Palais Polyvalent des Sports qui a servi de cadre à cette célébration des 90 ans de Paul Biya. Tous le parterre des autorités politiques, administratives, conduit par le Secrétaire général de la Présidence de la république, Monsieur Ngoh Ngoh a tenu à souhaiter un joyeux anniversaire à leur » Champion ».
- Professeure Justine Diffo, membre du RDPC, se réjouit du moment. « Bon anniversaire monsieur le président, son excellence Paul Biya. C’est pour moi un heureux privilège d’avoir à vous souhaiter le meilleur des anniversaires. Vous nous avez guidés dans votre aura institutionnelle, dans votre auréole spirituelle. Vous nous avez guidés dans la paix, dans la cohésion sociale au Cameroun », a-t-elle confié.
A l’unanimité, tous reconnaissent au président Biya, considération et respect pour son âge mais son aptitude à tenir malgré les secousses, le bateau Cameroun loin des eaux troubles.
« L’âge du président lui impose respect et admiration. Il faut célébrer l’anniversaire du chef de l’État, parce qu’au-delà de l’institution qu’il représente, il est avant tout un être humain aimé par son peuple, adulé par son peuple. C’est pour cela que spontanément, ce peuple-là lui souhaite un joyeux anniversaire » a expliqué Joël Meyolo, un universitaire.
Ceux-ci sont disposés à faire un triomphe à leur chef, et rien de divergent constaté dans l’opposition, ne réussira à taire la clameur qu’ils expriment à Paul Barthélemy Biya’a bi Mvondo.