Boko Haram/Bassin du Lac Tchad: Plus de 200. 000 personnes déplacées camerounais ont déjà retrouvées leurs domiciles
L’information est de la force multinationale qui a rendu public à cet effet un rapport.
» Pour la période de 2021 à nos jours plus de 200 000 déplacés internes et réfugiés repartis dans les quatre secteurs de la MINJF sont retournés en toute sécurité dans leurs foyers ancestraux » a indiqué le rapport du MINJF.
Pour le cas spécifique du Cameroun, le rapport a précisé que » 1140 sont retournées à Blangoua, 1552 à D’arak, 12985 à Fotokol, 1358 à Goulfrey, 1996 à Hilé- Alifa, 72 au Logone-Birni, à Makari 13542, à Waza 3509, Zina 10248, Kolofata 20575, Moral 17437, à Bourha 1666, à Hina 167, à Koza 4707, à Mayo Mozkota 16031, à Mogode 1084, Mokolo 8774 et à Soulede- Roua 34″.
La plupart de ses déplacés sont » des habitants dont les villages ont été saccagés et n’avaient d’autres choix que de se réinstaller dans d’autres refuges, soit en tant que personnes déplacées à l’intérieur du pays pour ceux qui ce sont déplacés sur les côtes de leur pays , soit en tant que réfugiés pour ceux qui sont partis vers les pays voisins » a précisé le document de la MINJF.
La force multinationale qui mène une lutte acharnée contre la secte la Boko Haram dans ces localités s’est réjouie du retour des réfugiés et personnes déplacés.
Un retour souligne la force multinationale fruit du » succès de nos opérations qui ont conduit à la défaite de plusieurs terroristes de nombreux villages qui étaient des bastions des terroristes de Biko Haram avec le sauvetage correspondant de milliers de captifs. Par conséquent, des environnements sûrs et sécurisés ont été créés, ce qui a conduit au retour de nombreux déplacés et réfugiés ».
Rappelons que la force multinationale au front contre la secte Boko-Haram dans la région du lac Tchad est constituée du Tchad, du Niger, du Nigeria et du Cameroun.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
Vous pouvez soutenir notre action :
- en faisant un don ponctuel ou régulier.
- en rejoignant notre équipe comme analyste, expert, professionnel de l'audiovisuel, défenseur des droits de l'homme, journaliste, théologien, etc.
- en priant pour nous.
- en nous contactant par email à l'adresse [email protected] ou par téléphone au par téléphone au +33 769138397
JE FAIS UN DON
