La promesse de la Reine
La reine Elizabeth II.
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Au décès de son père le roi d’Angleterre, le 21 avril 1947, elle avait 21 ans. Elle fit un discours retransmis à la radio depuis la ville du Cap en Afrique du Sud, où elle se trouvait en voyage. Elle prend alors cet engagement « Je déclare devant vous tous que ma vie entière, qu’elle soit longue ou courte, sera consacrée à votre service ».
Nous savons tous que, sans aucun doute, elle respecta sa parole jusqu’à son dernier souffle… Elle fut une reine très « sociale », mécène très généreuse auprès de plusieurs centaines d’associations.
Nous relèverons cette dernière phrase de son long discours «sera consacrée à votre service».
C’est ainsi que Jésus était consacré au service des autres… c’est ce qu’il dit dans Marc 10.45 «je suis venu non pour être servi, mais pour servir». Oui, Jésus est notre exemple suprême !
La reine Elizabeth II, cette petite femme, n’aurait que suivit son exemple. Cette femme d’autorité et de responsabilité nous donne aussi un bon exemple plus proche de nous.
Après une vie au milieu des pasteurs, personnes d’autorité et de responsabilité, toutes proportions gardées vis-à-vis de la Reine !… J’ai constaté que nombreux sont ceux qui sont vraiment au service de leur communauté, ils s’y consacrent vraiment et sont des merveilleux exemples de générosité et de dévouement.
Hélas d’autres «se font servir» ou «se servent» … et parfois même «se servent bien» … Alors qu’ils sont au service de l’Église, c’est-à-dire des chrétiens…
La Bible fustige ces «Bergers», les pasteurs qui se servent… et qui ne soignent guère le troupeau… vous pouvez lire cela dans Ézéchiel 34.3-6, «…Vous avez mangé la graisse, vous vous êtes vêtus avec la laine, vous avez tué ce qui était gras, vous n’avez point fait paître les brebis. Vous n’avez pas fortifié celles qui étaient faibles, guéri celle qui était malade, pansé celle qui était blessée ; vous n’avez pas ramené celle qui s’égarait, cherché celle qui était perdue ; mais vous les avez dominées avec violence et avec dureté. Elles se sont dispersées, parce qu’elles n’avaient point de pasteur ; elles sont devenues la proie de toutes les bêtes des champs, elles se sont dispersées. Mon troupeau est errant sur toutes les montagnes et sur toutes les collines élevées, mon troupeau est dispersé sur toute la face du pays ; nul n’en prend souci, nul ne le cherche…».