Le secteur financier peu exposé au risque climatique, dit l’ACPR
PARIS (Reuters) – Les banques et les assurances françaises apparaissent modérément exposées aux risques liés au changement climatique mais n’en doivent pas mois intensifier leur lutte contre ces facteurs, montre une étude réalisée par l’autorité de contrôle du secteur.
Les conclusions du premier exercice du genre, mené par L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), organisme adossé à la Banque de France, sont plutôt rassurantes mais ne dispensent pas le secteur financier français d’une forte mobilisation, lit-on dans un communiqué publié mardi par l’ACPR.
« L’exposition des institutions françaises aux secteurs les plus impactés par le risque de transition, tels qu’identifiés dans cet exercice (industries extractives, cokéfaction et raffinage, pétrole, agriculture, etc.), est relativement faible », précise le texte.
C’est néanmoins dans ces secteurs que le coût du risque et les probabilités de défaut progressent le plus, prévient l’ACPR.
« Les institutions bancaires et les assureurs doivent donc approfondir dès aujourd’hui leurs actions en faveur de la lutte contre le changement climatique, en intégrant les risques induits par ce dernier dans leur processus d’évaluation des risques financiers », préconise l’autorité de contrôle.
L’ACPR souligne notamment la hausse attendue de la sinistralité et des primes pour certains risques d’assurance, en particulier les sinistres liés aux catastrophe naturelles.
L’exercice, destiné à évaluer la résistance des banques et assurances françaises à différents scénarios de risque climatique à horizon 2050, a été conduit de juillet 2020 à avril 2021, précise l’ACPR.
(Patrick Vignal, édité par Nicolas Delame)
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