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Près de lui je demeure!

C’est le bonheur pour moi, d’aller dans ta maison

Pour te louer Seigneur, et glorifier ton nom

Mon cœur est dans la joie, près de toi je demeure

Pour écouter ta voix, j’y passerais des heures.

 

Car même les oiseaux, ne sont pas délaissés

Quand ils sont dans leurs nids, se sentent protégés

Voyez les hirondelles, revenant au printemps

Retrouvent leurs logis, c’est ainsi tous les ans.

 

Puisque les passereaux, ne sont pas oubliés

Moi qui suis son enfant, il saura m’entourer

J’irai dans ses parvis, écouter sa Parole

Elle seule me rassure, elle seule me console.

 

Quand je traverserai, la vallée de Baca

Il séchera mes pleurs, et la transformera

En jardin arrosé, par sa bénédiction

Je ne vivrai jamais, de sa part l’abandon.

 

Rien ne peut égaler, que d’être près de Dieu

Des jours passés ailleurs, n’apportent rien d’heureux

Le seuil de ta maison, oui ! Est préférable

Au repaire des méchants, qui dressent leur table.

Lecture : Psaume 84 v 6 :

Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés. Lorsqu’ils traversent la vallée de Baca, (des pleurs) ils la transforment en un lieu plein de sources, et la pluie la couvre aussi de bénédictions.

Poème à lire également sur mon site de poésie:

http://www.poesie-chretienne.com/pres-de-lui-je-demeure.html

 Ce Psaume semble écrit pour nous, qui aujourd’hui traversons une période troublée, sans précédant pour notre génération. Le psalmiste n’exclut pas les difficultés, qu’il nomme vallée de Baca, de pleurs, de souffrance ; mais il introduit constamment la présence de Dieu, sa Parole et sa Maison.

Il a bien assimilé les promesses du Seigneur, et dans son âme point de trouble ni de peur, puisqu’il prend soin des passereaux, à plus forte raison prendra t-il soin de lui son enfant. C’est ce que Jésus martelait aux oreilles de ses disciples quand il leur disait : « Regardez les oiseaux du ciel : Ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers ; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? » (Matthieu 6 v 26/27).  

Non, cet homme ne minimise pas les difficultés qui se dessinent à l’horizon, mais il s’approche de son Dieu en s’écriant : « Éternel, Dieu des armées, écoute ma prière ! Prête l’oreille Dieu de Jacob ! » (v 9). C’est-à-dire un Dieu armé, capable d’arrêter toutes les forces ennemies qui pourraient se liguer contre nous. Puis il y a une pause, avec une reprise confiante et qui confesse : « Toi qui es notre bouclier, vois ô Dieu ! Et regarde la face de ton oint ! » (v 10).

Le psalmiste a fait le bon choix, qui consiste à demeurer dans les valeurs divines, quand il déclare : « Mieux vaut un jour dans tes parvis que mille ailleurs ;… » (v 11).

Aujourd’hui, nous sommes privés d’aller « ailleurs », mais avons ce privilège de nous tenir dans la présence de Dieu, malgré l’impossibilité de nous tenir dans sa Maison ; mais il est présent dans nos maisons !

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