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Patronat sur la pénibilité: Toujours pas de consensus syndicat

La réunion multilatérale qui s’est tenue jeudi à Matignon sur le projet de réforme des retraites a permis d’acter plusieurs « avancées sociales » sans permettre toutefois de déboucher sur un consensus sur la question de la pénibilité, a déclaré le Premier ministre Edouard Philippe.

Cette rencontre a réuni autour de la table les représentants des organisations syndicales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa) et patronales (Medef, CPME, U2P) et la ministre Muriel Pénicaud (Travail), les secrétaires d’Etat Laurent Pietraszewski (Retraites) et Olivier Dussopt (Fonction publique).

Les échanges ont porté sur quatre chantiers: la pénibilité, la fin de carrière, le minimum de pension et la gestion des transitions pour les générations concernées entre les 42 systèmes de retraite actuels et le régime « universel à points » souhaité par l’exécutif.

« La réunion a conclu ce premier cycle de concertation sur un bon bilan (…) qui acte de nouvelles avancées sociales pour nos concitoyens et il nous laisse du temps pour régler quelques points à ce stade sans accord », a déclaré Edouard Philippe lors d’une conférence de presse à l’issue de la rencontre.

Parmi ces points figure la question de « la réparation de la pénibilité s’agissant des trois critères ergonomiques » qui ne « fait pas consensus entre les organisations patronales et syndicales », a-t-il ajouté. « J’ai bien noté la demande des organisations syndicales d’aller plus loin en matière de départ anticipé mais aussi les craintes exprimées par certains représentants des employeurs face à des évolutions de ce type ».

« Le dialogue doit donc se poursuivre sur ces sujets et les décisions devront être envisagées en cohérence avec les travaux de la conférence sur le financement de notre système de retraite », prévue pour durer jusqu’à fin avril, a précisé le Premier ministre.

La réforme des retraites, qui est contestée dans la rue depuis début décembre, doit être examinée à partir de lundi prochain en séance publique à l’Assemblée nationale avant une adoption définitive que le gouvernement espère avant l’été.

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