« Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! » (Cantiques 2:10)
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« C’est la voix de mon bien-aimé ! Le voici, il vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. Mon bien-aimé est semblable à la gazelle ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, il regarde par la fenêtre, il regarde par le treillis. Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! » (Cantique des cantiques 2:8-10)
Le bien-aimé invite la Sulamite, l’héroïne du Cantique des cantiques, à une promenade pour jouir de toute la beauté d’une journée printanière. Rien de plus exquis que ce tableau de la nature qui se réveille après la courte saison des pluies.
Le figuier rougit ses jeunes figues. Le figuier porte en Palestine deux espèces de figues : les précoces, qui poussent sur le bois de l’année précédente et sont mûres au mois de juin, et les tardives, qui poussent sur les branches nouvelles de l’année et apparaissent à la base des feuilles, mûrissant successivement dès le mois d’août, les unes encore durant l’été, les autres restant suspendues à l’arbre pendant tout l’hiver et n’étant mûres qu’au printemps, souvent seulement après l’apparition des feuilles (Voir Marc 11 :13).
L’invitation de l’amoureux est un modèle de construction littéraire. Ce merveilleux passage décrivant l’explosion de la nature est encadré par les paroles d’invitation presque identiques dans Cantiques 2 :10 et 2 :13. Il y a un sens très fort de mouvement temporel dans le poème, du passé au futur par le présent. L’hiver avec sa saison de pluies et son temps gris a cessé. C’est une chose du passé.
A présent, les fleurs éclosent à travers le pays, la voix des tourterelles retentit, le temps de chanter est arrivé… Il y a aussi une allusion à l’avenir par la vigne en fleur et les figuiers où les premiers fruits mûrissent. C’est donc un mouvement de la stérilité vers la pleine fertilité, des jours sombres du passé vers une nouvelle espérance dans l’avenir. Nos amoureux font partie de cette explosion d’une nouvelle vie et d’un nouvel espoir
L’Eglise, l’épouse par excellence
L’Eglise se réjouit de pouvoir être en communion avec Christ ! Nul autre que Christ ne peut en effet parler davantage au cœur des chrétiens.
« Le voici, il vient ! » Cette phrase peut s’appliquer à la perspective de la venue de Christ ici-bas, qu’avaient les saints de l’Ancien Testament. Christ est venu volontairement en ce monde.
« Il vient rapidement ». Même lorsque Christ semble abandonner les siens, ce n’est que temporaire ; Il revient toujours, avec son éternel amour et sa merveilleuse tendresse. Les saints de l’ancien temps l’ont discerné spirituellement, apparaissant lors des sacrifices et des institutions cérémonielles. Nous le voyons aujourd’hui comme au travers d’un verre obscurci, comme à travers les treillis (verset neuf).
Le Seigneur Jésus-Christ invite le nouveau converti à abandonner « le chemin large » de la fausse religion, de la paresse et du découragement, à laisser le péché et les vanités de ce monde, pour s’unir spirituellement et entrer en communion avec lui.
L’hiver peut représenter pour l’enfant de Dieu, soit des années passées dans le désert spirituel et le péché, de façon stérile et misérable, soit les orages et les tempêtes qui ont accompagné sa conviction de culpabilité et de danger de mort.
Même si les fruits de la sanctification d’une âme ne sont pas encore parfaitement mûrs, celui qui les a produits, par sa grâce, les regarde toujours favorablement. Tous ces signes encourageants et ces évidences de la faveur divine sont des motifs qui doivent inciter une âme à suivre Christ avec bonheur.
Levons-nous et éloignons-nous des attraits du monde et de la chair, pour entrer dans la connaissance de Christ. Nous connaîtrons alors un formidable changement en notre cœur, au contact de cette merveilleuse lumière spirituelle !
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Les chrétiens protestants et évangéliques ont longtemps sous-estimé le pouvoir des médias. Les récentes polémiques concernant des reportages à charge contre les plus grandes églises évangéliques françaises pose la question des intentions des patrons des médias, de ces milliardaires qui ont surinvesti ce champ de bataille idéologique.
Ne perdons pas la bataille idéologique
Les achats de médias par des milliardaires ne sont pas toujours motivés par la rentabilité financière, mais plutôt par des intérêts idéologiques. Ils achètent les médias pour influencer l'opinion publique, mener des batailles culturelles et maintenir leur pouvoir économique et social.Les évangéliques pris pour cible
L’influence grandissante des évangéliques gêne certains patrons des médias qui, disons-le, sont engagés dans des loges ou des sectes pernicieuses. Très puissante aux États-Unis, où de nombreuses personnalités ont renoncé à l'occultisme et à la débauche pour se convertir à la foi évangélique, la percé de cette frange chrétienne de plus en plus présente en France fait trembler le monde des ténèbres.Faire contrepoids
A l'heure actuelle, les chaînes d’info font l’agenda, nourrissent les réseaux sociaux, orientent les débats publics. Le Journal Chrétien et sa chaîne Chrétiens TV veulent aller sur leur terrain en investissant la sphère politique et médiatique pour y proposer une autre hiérarchie de l’information. Il est question de mener la bataille culturelle pour faire contrepoids aux groupes de médias hostiles aux Evangéliques.A quoi serviront vos dons ?
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