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« Mon âme, bénis l’Eternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! » (Psaumes 103:2)

« Mon âme, bénis l’Eternel ! Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom ! Mon âme, bénis l’Eternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! » (Psaumes 103:1-2)

Au verset 1, le psalmiste exhorte sa propre âme à remercier Dieu. Son âme, et tout ce qui est en lui (toutes les forces et toutes les capacités de son être) doivent célébrer les bienfaits de Dieu. Il veut que sa mémoire en garde le souvenir ineffaçable, que son imagination en trace un lumineux tableau, que son cœur en tressaille d’allégresse, que son intelligence en comprendre la valeur, et que sa conscience en tire des conséquences pratiques.
Toutes ses facultés doivent en quelque sorte faire entendre une symphonie de louanges dans laquelle aucun instrument ne restera muet.
Au verset 2, l’auteur de ce Psaume répète : « Mon âme, bénis l’Eternel », mais maintenant c’est à sa mémoire seule qu’il demande d’entrer en jeu. Il sait, en effet, qu’elle est souvent fautive : elle retient mieux les heures de détresse que les années de bonheur, et parmi les bienfaits de Dieu, elle s’attache plus à ceux qui ont un caractère exceptionnel qu’à ceux, plus précieux encore, dont nous jouissons en tous temps.
Le psalmiste craint donc d’oublier quelques-unes des grâces divines, et pour parer à ce danger, il en dresse une liste méthodique et détaillée, comme peuvent le faire tous ceux qui craignent de tomber dans l’ingratitude envers Dieu.

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Le bienfondé l’action de grâces

L’action de grâces est, avec l’adoration, la louange, et la supplication, l’un des objets de la prière des chrétiens.
Le premier devoir de l’homme envers Dieu est l’adoration, par laquelle nous reconnaissons sur nous et sur toutes choses le souverain domaine du Créateur. Mais en même temps que de sa dépendance à l’égard de Dieu, l’homme prend conscience de sa dette envers lui, qui est non seulement son maître, mais son bienfaiteur ; qui a même voulu être son maître en l’appelant à la vie que pour le combler de ses bienfaits.
L’acte par lequel il témoigne à Dieu cette reconnaissance porte le nom d’action de grâces. Cette expression met l’accent sur le caractère gratuit des dons divins, auxquels ne correspond jamais un droit de notre part ; et aussi sur leur finalité surnaturelle, car rien de ce que Dieu nous donne n’est étranger à notre fin dernière qui est la gloire éternelle.
Un véritable enfant de Dieu éprouve, sans avoir à faire un profond effort, le besoin de remercier Dieu des biens temporels, la vie, la santé, la possession du nécessaire, et celle du superflu. Il reçoit de Dieu tout cela, ainsi que le rappelle à qui voudrait l’oublier le sermon sur la montagne (Matthieu 6:24-34), ou la remarque de Jésus au sujet du seul des dix lépreux venu rendre grâces après leur guérison (Luc 17:11-19).
Mais au-dessus des bienfaits temporels et sensibles, le vrai chrétien place les dons spirituels, ceux auxquels on donne proprement le nom de grâces : la restauration en lui de la vie surnaturelle, les secours dans la lutte contre le péché, les miséricordes et les prévenances du cœur divin ; et cette assistance ; assidue de la providence dont son salut est le terme, et dont il discerne d’autant mieux les interventions qu’il les voit dans l’éclairage du salut.
A côté, et au-dessus des grâces qui le concernent personnellement, il estime les bienfaits accordés par Dieu aux autres âmes, aux groupes auxquels il appartient, à l’Église, à l’humanité, et sa reconnaissance est plus vive pour ces interventions de portée éternelle et d’extension universelle que pour celles qui semblent ne viser que lui et que sa vie présente.
A mesure qu’un chrétien voit plus clair, il comprend mieux la solidarité qui lie entre eux ces faisceaux d’intérêts, temporels et spirituels, individuels et universels ; et, sans distinguer ce qui le touche directement dans son corps ou dans son âme, il s’applique à rendre grâces de tout, parce que tout est grâce, et que la grâce étant l’aspect provisoire de la gloire, tout est, en germe et en espérance, gloire des prédestinés et gloire de Dieu.

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