Un enfant nous est né !
Il ne pouvait souffrir
De se voir détrôner
Et se mit à haïr
Cet enfant nouveau-né.
Mais il devait venir
Comme c’était annoncé
Dieu voulant nous bénir
Par son Fils bien-aimé.
Aussi durent-ils s’enfuir
Au loin pour le cacher
Qu’Hérode ne puisse ravir
L’enfant tant espéré !
Ô, viens le découvrir !
Rejoignant les bergers
Comme eux te réjouir
Le Fils nous est donné !
Noël ! Qu’il faut saisir !
Le Christ à rencontrer
Noël ! Pour nous vêtir !
De joie, de liberté.
Noël ! Pour souvenir !
Et ne pas s’égarer
Noël ! Vient nous redire
Christ la priorité !
Noël ! C’est le sourire !
Du ciel tout étoilé
Noël ! Tu peux l’écrire
Le Sauveur nous est né !
Noël ! Veut t’éblouir
Mais surtout t’éclairer
Noël ! C‘est pour t’offrir
Une vie apaisée !
Lecture : Ésaïe 9 v 5 :« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; on l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. »
Le contraste est saisissant, entre le roi Hérode, qui apprenant la naissance du Sauveur, met tout en œuvre pour le retrouver afin de le faire mourir, et ces bergers, ou encore ces mages qui eux le recherchent, pour le bénir et se réjouir de cette naissance.
Quelle est notre position et notre choix concernant Noël et la venue de Jésus-Christ ? Pendant des années j’ai côtoyé cette fête de Noël dans l’indifférence, voire la moquerie, jusqu’au jour où j’ai opté pour l’attitude des bergers, en réalisant que c’était le plus beau des cadeaux qui m’était offert !
Viens rejoindre tous ceux qui vivent Noël, dans la joie, l’espérance et la paix. Accepte ce merveilleux cadeau, qui t’accompagnera chaque jour de ta vie !