Ferrari: Bénéfice d’exploitation en hausse au T1, prévisions confirmées
MILAN (Reuters) – Ferrari a fait état mardi d’une augmentation de 13% de son bénéfice d’exploitation au premier trimestre mais son action reculait à la Bourse de Milan, le constructeur de voitures de sport de luxe n’ayant pas réussi à enthousiasmer les investisseurs malgré un début d’année jugé « très positif ».
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
JE FAIS UN DON MAINTENANTLes résultats trimestriels, a indiqué la société italienne, ont été stimulés par sa capacité à fixer les prix, sa gamme de produits et une plus grande contribution des véhicules personnalisés. Elle a également fait état d’une augmentation des livraisons de sa série-limitée Daytona SP3 vendue à 2 millions d’euros.
Le directeur général Benedetto Vigna a déclaré que Ferrari avait enregistré une croissance à deux chiffres de son chiffre d’affaires et de son bénéfice malgré une stabilité dans les livraisons de voitures.
« Ce résultat a été obtenu grâce à notre gamme de produit et un éventail de pays encore plus solides, ainsi qu’à une plus grande contribution de la personnalisation », a-t-il déclaré dans un communiqué.
« Notre stratégie axée sur la qualité plutôt que sur la quantité continue de porter ses fruits ».
Le bénéfice ajusté avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement (Ebitda) de Ferrari a atteint 605 millions d’euros sur la période janvier-mars, en ligne les attentes des analystes selon un consensus Reuters.
Ferrari, dont l’action cotée à Milan cédait 3,75% à 382,30 euros à 12h28 GMT, a confirmé sa prévision pour 2024 d’une hausse de son Ebitda ajusté d’au moins 2,45 milliards d’euros.
(Reportage Giulio Piovaccari, Version française Mathias de Rozario, édité par Kate Entringer)
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
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