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Josué… et Zorobabel… se levèrent et bâtirent l’autel du Dieu d’Israël. Esdras 3:2

Jéshua, fils de Jotsadak, et ses frères les sacrificateurs, et Zorobabel, fils de Shealthiel, et ses frères, se levèrent et bâtirent l’autel du Dieu d’Israël, pour y offrir des holocaustes, selon ce qui est écrit dans la loi de Moïse, homme de Dieu. Et ils établirent l’autel sur son emplacement… et ils offrirent dessus des holocaustes à l’Éternel, les holocaustes du matin et du soir. Et ils firent la fête des tabernacles… et après cela l’holocauste continuel. Esdras 3:25

Christ doit être le fondement et le centre

Esdras a compris, grâce à la loi de Moïse, que pour restaurer le peuple, il fallait commencer par la base : donner à l’Éternel la place qui lui revient au milieu de son peuple. En toutes choses, il doit avoir la première place (voir Colossiens 1. 18). Avant de pouvoir poser les fondations du temple, l’habitation de Dieu, il fallait avoir un point de référence, et ils l’ont établi quand l’autel a été posé sur sa base.
On peut faire une application pour nous avec l’image de la maîtresse pierre d’angle (voir 1 Pierre 2. 6-8 ; Ésaïe 28. 16) – qui n’est autre que le Seigneur Jésus lui-même : “Jésus Christ lui-même étant la pierre maîtresse de l’angle” (Éphésiens 2. 20).
Sur l’autel ainsi rétabli sur son emplacement, l’holocauste continuel pouvait alors être offert, faisant monter l’odeur agréable de Christ pour Dieu ; Dieu pouvait maintenant regarder son peuple avec plaisir, car il le voyait dans la perfection de Christ lui-même.
Ayant établi à nouveau le centre divin et obtenu ainsi la faveur de Dieu, ils ont pu commencer à reconstruire le Temple en posant ses fondations. Une demeure prend le caractère de celui qui l’habite, et il en est ainsi de la maison de Dieu. Là, tout parle de Christ. La beauté, la perfection de sa Personne et la grandeur de son œuvre, ne peuvent être apprises nulle part ailleurs. Là, demeure sa gloire.
Si actuellement nous suivons l’exemple d’Esdras, nous aussi nous serons rassemblés “comme un seul homme” (Esdras 3. 1) pour accomplir un seul but – rendre culte, non pas en regardant à nous-mêmes et à nos propres besoins, comme bon nous semble, mais en veillant à ce que, “selon ce qui est écrit” dans le Nouveau Testament maintenant, tout soit de Christ et pour Christ.
Que le véritable désir de notre cœur soit celui-ci : “Il faut que lui croisse et que moi je diminue” (Jean 3. 30).
J. Redekop

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