Roche nomme le directeur de la division de diagnostic au poste de directeur général
Roche a déclaré jeudi que le chef de sa division de diagnostic, Thomas Schinecker, deviendrait directeur général du groupe l’année prochaine, en remplacement de Severin Schwan, qui prendra lui le rôle de président du conseil d’administration.
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
JE FAIS UN DON MAINTENANTLe président du conseil d’administration Christoph Franz, en fonction depuis neuf ans, ne se représentera pas lors de la prochaine assemblée annuelle des actionnaires en mars 2023, a indiqué jeudi le groupe pharmaceutique suisse dans un communiqué.
Par ailleurs, Roche a fait état dans un autre communiqué jeudi d’un bénéfice d’exploitation ajusté au premier semestre en hausse de 9%. Il atteint ainsi 12,f67 milliards de francs suisses (12,78 milliards d’euros) et dépasse les attentes des analystes, qui tablaient sur 12,1 milliards de francs.
Roche a confirmé ses perspectives pour l’ensemble de l’exercice.
Sous la direction de Thomas Schinecker, les activités de diagnostic ont connu une forte hausse des ventes de kits de test de dépistage du Covid-19 pendant la pandémie, une tendance qui s’est attenuée au deuxième trimestre.
La société a réitéré qu’elle s’attendait à ce que les ventes de produits liés au diagnostic ou au traitement du Covid-19 diminuent d’environ 2 milliards de francs suisses cette année pour atteindre environ 5 milliards de francs.
Severin Schwan est membre du comité exécutif de Roche depuis 2006 et occupe le poste de directeur général depuis 2008.
(Reportage Ludwig Burger; version française Valentine Baldassari, édité par Kate Entringer)
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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