Paul Mukendi va purger une peine de huit ans de prison
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Soutenez le Journal Chrétien en cliquant ici.La Cour d’appel du Québec a rejeté lundi la demande de Paul Mukendi, leader du Centre évangélique Parole de Vie à Québec, visant à faire annuler sa condamnation à une peine de huit ans de pénitencier.
Paul Mukendi, 44 ans, a refusé de se constituer prisonnier en se livrant aux autorités carcérales québécoises au plus tard vendredi à 15 h, à la suite d’une décision de la Cour d’appel du Québec de maintenir sa culpabilité pour agression sexuelle sur une mineure, menace de mort, voies de fait armées et voies de fait causant des lésions. La Cour d’appel du Québec a également choisi de conserver la peine de huit ans imposée par le juge Jean-François Émond.
Un mandat d’incarcération
D’après Audrey Roy-Cloutier, porte-parole du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), « un mandat d’incarcération est actuellement en vigueur, puisque l’accusé ne s’est pas livré aux autorités carcérales tel qu’ordonné par la Cour d’appel. »
David Pelletier, agent du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ), a confirmé que des recherches sont en cours pour localiser Paul Mukendi pour le conduire en détention.
Deux nouvelles accusations
De nouvelles accusations de liberté illégale et de désobéissance à une ordonnance ont été déposées, mardi, par le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) à l’encontre de Paul Mukendi.