Généalogie de Jésus-Christ… Matthieu 1:1
Livre de la généalogie de Jésus Christ, fils de David, fils d’Abraham : …. Juda engendra Pharès et Zara, de Thamar. Matthieu 1. 1, 3
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
Les femmes dans la généalogie de Jésus (1)
Tamar
En Israël, les généalogies ne mentionnaient que les hommes (voir 1 Chroniques 1) ; cependant, nous trouvons quatre noms féminins dans celle du Seigneur. Qu’est-ce que Dieu veut nous montrer par ce moyen ?
Thamar (ou Tamar) est le premier nom de femme qui apparaît ainsi dans la lignée de Jésus ; c’était une Cananéenne que Juda, fils de Jacob, avait prise pour son fils, Er (Genèse 38. 6). Tamar n’était donc pas une Israélite pieuse, et son histoire finit assez tristement : elle monte de toutes pièces une ruse pour obtenir des enfants de son beau-père, Juda. Ainsi, loin d’être une femme de foi laissant Dieu la diriger, elle a suivi son propre chemin sans Lui, et elle a plongé Juda dans le mal. Qu’a-t-elle donc fait de bien pour que son nom apparaisse dans la généalogie du Seigneur ? La réponse est simple : elle est, comme nous croyants, un témoin de la grâce de Dieu.
Du point de vue de la Loi qui sera donnée plus tard, Tamar était dans son droit en réclamant des enfants de sa belle-famille. Mais pour cela, elle employait des moyens humains tout à fait répréhensibles, et elle le savait certainement, car à cette époque, Dieu avait donné à l’homme une conscience naturelle pouvant distinguer le bien du mal. À vue humaine, Tamar n’était pas digne d’entrer dans la généalogie du Messie ; pourtant, “Dieu, miséricordieux et faisant grâce, lent à la colère, et grand en bonté et en vérité” (Exode 34. 6), a pris en considération son désir d’avoir un enfant héritier de son mari décédé, et l’a bénie. Cela ne venait pas de Tamar, c’était un don de Dieu.
De la même façon, nous qui n’étions pas son peuple, “privés de tout droit de cité en Israël” (Éphésiens 2. 12), nous qui avions commis tant de mal à l’égard de Dieu, nous sommes devenus par grâce non seulement son peuple, mais aussi ses enfants, ses héritiers et les cohéritiers de Christ, par la foi. Peu importe le mal que nous aurions commis avant de venir à lui, la grâce nous couvre et nous justifie pour que nous soyons saints devant Dieu. Et comme pour Tamar l’étrangère, “cela ne vient pas de nous, c’est le don de Dieu” (Éphésiens 2. 8).
Tamar avait décidé d’entrer, coûte que coûte, dans une famille bénie par Dieu. Mais nous, c’est par Jésus comme Sauveur que nous accédons à cette faveur de Dieu dans laquelle nous sommes (Romains 5. 2).
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