Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse !
En Dieu je me confie : je n’aurai pas peur. Psaume 56. 4–6
Au chef des chantres. Des fils de Koré. Sur alamoth. Cantique. (46.2) Dieu est pour nous un refuge et un appui, Un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Psaumes 46:1–2
Quels encouragements ?
Dans l’histoire de David relatée dans la Bible, Dieu avait promis à David qu’il serait roi. Mais Saül, le roi actuel, veut le tuer. Or dans cette période difficile, David va être encouragé par Jonathan, le fils du roi Saül.
Souvent, nos paroles d’encouragement sont : “Ne t’inquiète pas, ça va aller”. “On est avec toi”. “Sois fort, tu vas t’en sortir”. Ces encouragements ne sont-ils pas souvent bien superficiels pour celles et ceux qui les entendent ?
Jonathan encourage David différemment : il cherche à affermir sa confiance en Dieu. Ses paroles ont certainement été utiles à David quand Saül a retrouvé sa trace et s’est approché si près de lui qu’il est presque parvenu à mettre la main sur lui pour le tuer. Que va faire Jonathan ? Il “se leva et alla vers David dans le bois, et fortifia sa main en Dieu ; et il lui dit : Ne crains pas, car la main de Saül, mon père, ne te trouvera pas ; et tu régneras sur Israël… et Saül, mon père, le sait aussi” (1 Samuel 23. 16, 17). Garder confiance en Dieu et en sa Parole, cela change tout dans une telle situation.
Aujourd’hui, peut-être êtes-vous découragé, blessé, confus par rapport à ce que vous vivez. Peut-être vous sentez-vous seul, incompris, avec le sentiment d’être délaissé, rejeté… Alors nous voulons vous encourager à mettre votre confiance en Dieu et en sa main puissante. Rappelons-nous les uns aux autres que lui-même a dit : “Je ne te laisserai pas et je ne t’abandonnerai pas” (hébreux 13. 5).
Source: Calendrier La Bonne Semence – Bibles et Publications Chrétiennes – Achetez un exemplaire de la Bonne Semence en cliquant ici.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?