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Parabole des ouvriers loués à différentes heures. Matthieu 20:1-16

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Cette parabole met en relief une importante vérité. Comme dans d’autres cas, beaucoup de détails ont pour seul but de donner du relief à l’histoire ; il ne faut pas chercher toujours une signification théologique. Il s’agit de montrer que, dans le Royaume, les hommes reçoivent ce dont ils ont besoin, c’est-à-dire la vie éternelle (le denier représentait le salaire journalier d’un ouvrier). Par contre, les récompenses spirituelles varieront d’une personne à l’autre (Matthieu 19.29). Le salut est un don de Dieu, qui appelle constamment à son service des hommes de stature morale et de niveaux spirituels différents. Par conséquent, nul ne peut prétendre exiger de lui plus qu’un autre. Dieu n’est pas injuste, car il donne ce qu’il a promis (verset 13). Il est souverainement libre de faire ce qui lui plaît, car la générosité peut aller au-delà de ce qui serait dû (verset 14 s.). Ceux qui se croyaient justes, surtout les notables juifs, semble-t-il, s’indignaient uniquement parce que la libéralité de Jésus se manifestait envers d’autres (versets 12, 15). Mieux vaut être reconnaissant que contestataire (verset 16). Cela rappelle le frère aîné de la parabole du fils prodigue (Luc 15.25-32).

Cette vidéo a été fournie par LUMO Project. Grâce à un partenariat avec Faith Comes by Hearing, LUMO cherche à offrir cette ressource dans toutes les langues afin que les gens du monde entier aient la possibilité d’entendre et de voir l’Évangile. Pour en savoir plus sur le partenariat pour obtenir cette ressource incroyable dans toutes les langues, visitez https://www.faithcomesbyhearing.com (ressource en anglais)

Parabole des ouvriers loués à différentes heures. Matthieu 20:1-16

1 Car le royaume des cieux est semblable à un maître de maison qui sortit dès le matin, afin de louer des ouvriers pour sa vigne.
2 Il convint avec eux d’un denier par jour, et il les envoya à sa vigne.
3 Il sortit vers la troisième heure, et il en vit d’autres qui étaient sur la place sans rien faire.
4 Il leur dit : Allez aussi à ma vigne, et je vous donnerai ce qui sera raisonnable.
5 Et ils y allèrent. Il sortit de nouveau vers la sixième heure et vers la neuvième, et il fit de même.
6 Étant sorti vers la onzième heure, il en trouva d’autres qui étaient sur la place, et il leur dit : Pourquoi vous tenez-vous ici toute la journée sans rien faire ?
7 Ils lui répondirent : C’est que personne ne nous a loués. Allez aussi à ma vigne, leur dit-il.
8 Quand le soir fut venu, le maître de la vigne dit à son intendant : Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers.
9 Ceux de la onzième heure vinrent, et reçurent chacun un denier.
10 Les premiers vinrent ensuite, croyant recevoir davantage ; mais ils reçurent aussi chacun un denier.
11 En le recevant, ils murmurèrent contre le maître de la maison,
12 et dirent : Ces derniers n’ont travaillé qu’une heure, et tu les traites à l’égal de nous, qui avons supporté la fatigue du jour et la chaleur.
13 Il répondit à l’un d’eux : Mon ami, je ne te fais pas tort ; n’es-tu pas convenu avec moi d’un denier ?
14 Prends ce qui te revient, et va-t’en. Je veux donner à ce dernier autant qu’à toi.
15 Ne m’est-il pas permis de faire de mon bien ce que je veux ? Ou vois-tu de mauvais œil que je sois bon ? —
16 Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers.

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