« LE FRUIT DE L’ESPRIT C’EST … LA BÉNIGNITÉ OU LA BIENVEILLANCE… »
Un Jour, Un Verset …
« LE FRUIT DE L’ESPRIT C’EST … LA BÉNIGNITÉ OU LA BIENVEILLANCE… »
“ Ne rendez point mal pour mal ou injure pour injure ; Bénissez au contraire…” (1 Pierre 3:9)
La bénignité (en grec agathosune), c’est-à-dire avoir du zèle pour la vérité et la justice, détester le mal. Cela peut s’exprimer par des actes de bonté ou encore en reprenant et en corrigeant le mal.
Pour bien comprendre ce fruit, je veux vous partager deux versets.
Le premier est dans Romains 15:14 « Pour ce qui vous concerne, mes frères, je suis moi-même persuadé que vous êtes pleins de bonnes dispositions, remplis de toute connaissance, et capables de vous exhorter les uns les autres. »
Le deuxième verset est dans la première épître de Pierre 3:9 « Ne rendez point mal pour mal ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction. »
La bénignité ou la bienveillance : c’est accomplir ce qui sera bénéfique pour les autres, c’est une droiture de cœur. C’est aussi se tourner vers les autres en étant animé des dispositions bienveillantes. C’est réaliser quelque chose de favorable pour son prochain, bénir sans restriction.
La Bénignité définit la disposition du cœur qui consiste à ne pas « faire une montagne » de ce qui est « bénin », de ce qui est sans gravité ; à savoir examiner les choses dans leur juste proportion, même à savoir minimiser une situation au lieu d’en faire un problème.
Romains 15:14 « … vous êtes pleins de bonnes dispositions… » Avoir de bonnes dispositions de cœur les uns envers les autres favorise la recherche d’une solution heureuse à tout problème.
Ce fruit de l’Esprit est vraiment indispensable, surtout dans la vie de couple, car nous avons souvent tendance à aggraver la situation ; d’une petite chose à en fait toute une montagne. Et ce fruit nous aidera à avoir un cœur qui n’alimente pas les disputes ni soupçonne le mal. Cela vaut aussi dans nos relations d’amitié.
Demeurez bénis (es) dans sa grâce !
Pr Antonio LUKEBADIO
www.centrechretien.org
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?