Rechercher sur le site

Entrez les mots-clés dans la boîte ci-dessous :

Le Journal Chrétien

Un média d’espérance

Inscription à la newsletter

Les premières tendances des élections Sénatoriales sont en faveur du parti au pouvoir.

Les grands électeurs à savoir, conseillers municipaux et régionaux se sont rendus aux urnes dimanche pour élire les futurs sénateurs . Seulement, les premières tendances annoncent une victoire écrasante du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais ( RDPC)

Découvrez l'interview de Brice Blondel, préfet de la Charente-Maritime

FAITES UN DON POUR SOUTENIR NOTRE CHAÎNE

Ouverts à 8 h, c’est à 18 h que les bureaux de vote se sont refermés sur le triangle National le 12 Mars. Après le dépouillement des urnes dans divers bureaux de vote, le RDPC arrive largement en tête. Dans la région du Littoral par exemple, le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais remporte un peu plus de 900 voix sur les 1086. Son unique challenger dans cette partie du pays, le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale s’en sort avec 116 voix. La région du Littoral comptait à elle seule vingt bureaux de vote répartis dans les quatre départements. Dans le Moungo, sur les 393 électeurs inscrits, le PCRN a bénéficié de la confiance de quarante cinq grands électeurs, tandis que le RDPC enregistre 338 voix. Le tableau est pareil dans les trois autres départements où le parti au pouvoir totalise une majorité écrasante.

Décompte des suffrages dans un bureau de vote à Douala

Cependant, le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, croit n’avoir pas démérité. Son président, le député Cabral Libii dresse un bilan satisfaisant : « Le PCRN était en course dans le LITTORAL où il y a eu 1087 suffrages exprimés. Le PCRN avait au départ 72 conseillers acquis, ses élus. Au final, notre liste remporte 116 voix, soit un pourcentage de 10,66%, suffisant pour récupérer les cautions…Ainsi, on a pu avoir 44 voix des autres partis politiques dont 40 dans le MUNGO où le PCRN n’avait aucun élu. Il faut noter aussi les 4 voix supplémentaires engrangées dans le NKAM en plus de nos 25 élus de la commune de NKONDJOCK. Bravo à nos camarades candidats pour cette remarquable participation. Cap sur 2025» a écrit l’honorable Cabral Libii au lendemain des sénatoriales.
La victoire du RDPC risque ne pas être une surprise. Le parti au pouvoir avait déjà la majorité des sièges à la chambre haute du parlement durant la deuxième législature qui s’achève.
Les résultats du scrutin du 12 Mars dernier sont attendus au plus tard le 27 Mars pour les soixante-dix sénateurs élus, les trente autres seront nommés par le Chef de l’Etat.Mais avant les jours dits, les commissions régionales de supervision ont acheminé leurs procès verbaux à Yaoundé. Aussi, les requêtes sont attendues au Conseil Constitutionnel au plus tard ce 15  Mars à minuit en vue du contentieux post électoral.

Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !

Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.
Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.

ENGAGEZ VOUS !

Vous pouvez soutenir notre action :
- en faisant un don ponctuel ou régulier.
- en rejoignant notre équipe comme analyste, expert, professionnel de l'audiovisuel, défenseur des droits de l'homme, journaliste, théologien, etc.
- en priant pour nous.
- en nous contactant par email à l'adresse [email protected] ou par téléphone au par téléphone au +33 769138397

Les commentaires sont fermés.