Louez Dieu, car sa miséricorde dure à toujours !
« Ils chantaient, célébrant et louant l’Éternel par ces paroles : Car il est bon, car sa miséricorde pour Israël dure à toujours ! Et tout le peuple poussait de grands cris de joie en célébrant l’Éternel, parce qu’on posait les fondements de la maison de l’Éternel. » (Esdras 3 :11)
Lorsque les constructeurs posèrent les fondations du temple du Seigneur, on fit avancer les sacrificateurs en vêtements de cérémonie, avec des trompettes, et les lévites, descendants d’Assaf, avec des cymbales, pour acclamer le Seigneur selon les prescriptions de David, roi d’Israël.
Les Juifs qui se rappelaient la gloire et la grandeur du premier temple pleuraient bruyamment. Il y avait de quoi pleurer, sachant que le péché était à l’origine de ce triste évènement. Il était cependant impossible de contenir une telle joie commune !
Les enfants d’Israël n’étaient même plus sensibles aux bénédictions quotidiennes que le ciel leur accordait.
Ils chantaient des cantiques tels que les Psaumes 106, 107 ou 118 qui commencent par cette invitation à louer Dieu.
Une partie des sacrificateurs et des lévites disaient : « Louez et célébrez l’Éternel, car il est bon », après quoi l’autre partie répondait : « Car sa miséricorde dure toujours. » Mais on pourrait traduire aussi : « Ils entonnaient… », sans qu’il y eût d’autre réponse que les cris de joie du peuple entier.
Plusieurs générations d’Israélites assistèrent à la pose du fondement du temple. Celles qui eurent le triste privilège de n’avoir jamais vu cet édifice érigé louèrent l’Éternel avec des cris de joie. Les fondements de ce nouveau bâtiment leur paraissaient gigantesques.
« Louez l’Éternel, car il est bon, Car sa miséricorde dure à toujours ! » Ce refrain revient souvent dans l’Écriture (1 Chroniques 16 :34 ; 2 Chroniques 5 :13 ; Psaumes 100 :5 ; 136.)
Nous devrions être reconnaissants pour la miséricorde divine, bien que nous ne sachions pas encore parfaitement la distinguer à cette époque.
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