Le président sud-coréen en visite au Japon
par Sakura Murakami
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
TOKYO (Reuters) – Yoon Suk Yeol est arrivé jeudi à Tokyo pour la première visite d’un président sud-coréen au Japon en douze ans, quelques heures après que la Corée du Nord a tiré un missile balistique au large de sa côte est.
Yoon Suk Yeol rencontrera jeudi après-midi le Premier ministre japonais Fumio Kishida et les deux dirigeants devraient présenter un front uni alors qu’ils cherchent à mettre fin aux tensions liées à l’occupation japonaise de la péninsule entre 1910 et 1945.
Ces discussions interviennent alors que la Corée du Nord a tiré mercredi un missile balistique intercontinental au large de sa côte est.
Yoon Suk Yeol et Fumio Kishida devraient discuter de la sécurité dans la région face à la puissance émergente de la Chine et aux menaces militaires de la Corée du Nord.
Ils devraient également aborder la question de la coopération en vue de sécuriser les chaînes d’approvisionnement.
« Il est de plus en plus nécessaire, en ces temps, que la Corée (du Sud) et le Japon coopèrent », a déclaré Yoon Suk Yeol dans une interview écrite accordée mercredi aux médias internationaux.
Tokyo reste toutefois prudent sur de possible améliorations prochaines de la relation. Un responsable gouvernemental japonais préférant conserver l’anonymat a estimé que « les relations entre le Japon et la Corée du Sud s’améliorent mais il s’agit toujours d’un processus progressif ».
Des contentieux historiques liés à l’occupation japonaise de la péninsule opposent encore les deux pays, notamment concernant des îlots rocheux que le Japon et la Corée du Sud se disputent, et la question des « femmes de réconfort », des Coréennes contraintes à travailler dans des maisons closes établies pour les soldats de l’armée et de la marine impériales japonaises durant la Seconde Guerre mondiale.
(Reportage Sakura Murakami et Kaori Kaneko à Tokyo, Josh Smith et Ju-min Park à Seoul; version française Camille Raynaud)
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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