Ma parole n’est-elle pas comme un feu, dit l’Éternel, et comme un marteau qui brise le roc ? Jérémie 23:29
Tout le peuple se tenait suspendu à ses lèvres pour l’entendre. Luc 19. 48
Ma parole n’est-elle pas comme un feu, dit l’Éternel, et comme un marteau qui brise le roc ? Jérémie 23. 29
Des paroles incomparables
Lecture proposée : Jean 7. 37-52
Les autorités religieuses à Jérusalem ont décidé de faire arrêter Jésus. Elles envoient des gardes pour se saisir de lui. Ils reviennent peu après, sans Jésus. Que s’est-il passé ? Quelles raisons donnent-ils pour expliquer leur échec ? Ils disent seulement : “Jamais homme n’a parlé comme cet homme !” (Jean 7. 46).
En partant chercher Jésus, les gardes étaient remplis de préjugés à son égard. La plupart des gens, les plus grands et les plus instruits de la ville, considéraient Jésus de Nazareth comme un imposteur. On l’accusait d’être un blasphémateur, de chasser les démons par le chef des démons… Tel était le mépris pour Jésus, mépris que ces hommes partageaient.
Pourquoi donc ont-ils été incapables d’arrêter le Seigneur ? Comment leur attitude a-t-elle pu changer au point qu’ils ont osé revenir sans celui qu’ils devaient arrêter ? Ils avaient entendu les paroles de Jésus, que personne d’autre n’aurait pu prononcer.
Les autorités ont alors accusé ces gardes de s’être fait séduire, mais un des chefs, Nicodème, a répondu qu’il fallait d’abord écouter Jésus avant de le rejeter. Les chefs religieux ont alors demandé avec ironie à Nicodème s’il était, lui aussi, un disciple de Jésus.
Ce que Nicodème a dit est toujours vrai. Pourquoi rejeter l’évangile avant de l’avoir lu ou écouté ? La Parole de Dieu a cette force de nous conduire vers le Sauveur. C’est en la lisant que l’on vient à la foi. Elle a sa propre force de conviction.
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