Près de 900 journalistes ont été tués ces 10 dernières années, selon l’UNESCO
Le nombre de professionnels des médias tués a baissé l’année dernière mais ces derniers sont confrontés à d’autres risques multiples et croissants et l’impunité persiste, rappellent les Nations Unies lors de la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes.
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
De nouvelles statistiques publiées par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) à l’occasion de la Journée montrent une baisse de 14% des meurtres de journalistes pour les années 2018 et 2019 par rapport à la période des deux années précédentes.
Entre 2010 et 2019, près de 900 journalistes ont été tués dans l’exercice de leur métier, dont 156 au cours des deux dernières années. Cinquante-sept de ces meurtres ont eu lieu en 2019, le total annuel le plus bas depuis dix ans.
« Malgré une baisse du nombre de journalistes tués dans le monde, trop de journalistes continuent à payer le prix ultime pour leurs reportages », a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO.
Le rapport de la directrice générale sur la sécurité des journalistes et le danger de l’impunité montre par ailleurs que le niveau d’impunité pour les crimes commis contre les journalistes reste extrêmement élevé – avec près de neuf cas sur 10 qui restent impunis.
Les chiffres de l’année en cours ne sont pas rassurants. Au cours du premier semestre de 2020, au moins 21 attaques contre des journalistes couvrant des manifestations on été dénombrées, ce qui équivaut au nombre d’attaques de ce type pour l’ensemble de l’année 2017.
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Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.
Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
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