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Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ. Philippiens 2:5

Les chrétiens sont exhortés à avoir la pensée qui était dans le Christ Jésus. Par « pensée », ici, nous ne devons pas comprendre juste un avis ou une opinion, mais toute une manière de penser. La manière de penser de Christ doit nous caractériser, et elle est bien plus profonde. Si Sa manière de penser nous caractérise, nous serons délivrés des dissensions, même si nous ne voyons pas tout à l’identique. Les versets 15 et 16 du chapitre 3 nous le montrent.
Quelle était donc cette pensée qui était dans le Christ Jésus ? On peut répondre par les cinq mots du verset 8 : « Il s’est abaissé lui-même ». La pensée qui était en Christ était diamétralement opposée à celle qui était en Adam. Les paroles du Seigneur en Matthieu 23.12 l’illustrent.
La pensée d’Adam était l’exaltation du moi, et il est par conséquent tombé dans le gouffre. En Christ il y avait l’abnégation, l’abaissement de soi, et comme nous le voyons dans ce passage, Il a été exalté à la position suprême.
Le Seigneur Jésus-Christ dont la condition était celle de Dieu. Le grec utilise deux mots significatifs ici : hyparchon, un participe fort, plus fort que celui du verbe « être » habituel ; il exprime ce qui était et reste immuablement propre au Christ. Puis morphe, qui dénote une forme permanente et se rapproche, pour le sens, de notre mot « nature », plus philosophique, adopté par plusieurs autres versions.
Le verset 6 dit qu’il n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu. « Être égal avec Dieu » peut avoir le même sens que « dont la condition était celle de Dieu ». Dans ce cas, cette position lui appartenait indiscutablement ; mais, il ne s’est pas attaché à ses prérogatives d’égal de Dieu.
Jésus rejeta le genre de tentation à laquelle le premier Adam avait succombé, convaincu, à tort, de s’emparer de ce qui rendrait Ève et lui-même « comme des dieux » (Genèse 3.5). Ainsi le Christ ne pensait pas prendre de force ce qui lui appartiendrait, en fait, pleinement et définitivement par la volonté du Père, au-delà du berceau ou de la tombe humaine. Dans l’un ou l’autre cas, l’expression signifie qu’« il laissa sa gloire de côté. »

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