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La première vague… De notre amour!

«  Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu as abandonné ton premier amour.»

Depuis un certain temps, nous entendons régulièrement dans les médias le mot « Vague », en référence à la pandémie que la planète traverse, si bien que ce mot a pris des assonances différentes dans notre subconscient. C’est comme si le monde entier avait complètement oublié le sens premier de ce merveilleux mot, « Vague » : ce mot qui autrefois renvoyait à la liberté, à la paix, à la joie et aux éventuelles opportunités. Ainsi, dans le même ordre d’idées, il arrive parfois qu’à cause des aléas de la vie, des déceptions et peut-être des désillusions, nous en arrivions à oublier le sens et l’essence de certains mots, voire des bontés de la vie.

Aujourd’hui Seigneur, réapprends-nous à aimer. Réapprends-nous à savourer les bontés quotidiennes de la vie. Réapprends-nous à savourer ces grâces que tu déverses sur nous à chaque matin; réapprends-nous à jouir de ces manifestations de gentillesse venant des personnes que nous croisons sur le chemin de la vie; réapprends-nous à être reconnaissants pour ces actes de loyauté et de fidélité des amis que tu nous as donnés, amis dont, tels des cadeaux, nous déballons les paroles lorsque nous sommes au plus bas et avons besoin d’une oreille rassurante.

À présent Seigneur, que les événements malheureux ne viennent pas altérer l’innocence et la pureté de la personne que nous sommes. Personnellement, pour avoir grandi aux abords d’un des plus grands lacs de l’Afrique de l’Est, le mot « Vague » suscitait toujours en moi des sentiments de joie, des sentiments de paix et des souvenirs heureux. Mais depuis la pandémie, lorsque j’entends ces syllabes, c’est plutôt un sentiment d’inquiétude qui semble émerger de mon âme: « Troisième vague, quatrième vague, cinquième vague… »

Cependant, malgré cette nouvelle connotation et cette ambivalence dont revêt désormais le mot « Vague », il n’en demeure pas moins que les vraies bonnes vagues existent encore; elles n’ont pas changé de nature pour autant. Là où elles prennent naissance déferlent la joie, la paix et le même sentiment d’autrefois : la liberté!

À présent Seigneur, malgré les épreuves, malgré les aléas de la vie et malgré peut-être le manque d’amour de l’homme envers son prochain, ton Amour lui, existe encore et il ne peut jamais se tarir. Alors, réapprends-nous à aimer; réapprends-nous à marcher réellement dans cette Charité les uns envers les autres; nous te le demandons Seigneur parce que, si nous fouillons dans les profondeurs de notre être, nous réalisons que quelque part dans ce monde, les vraies et les apaisantes bonnes vagues existent encore.

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