Assemblée Nationale : Polémique autour de certains avantages qui divisent au sein des parlementaires
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Soutenez le Journal Chrétien en cliquant ici.Alors que le rideau est tombé le samedi 09 Avril 2022 dernier sur les travaux de la première session parlementaire de la législature en cours, quelques élus du peuple n’ont pas vu d’un bon œil le fait que certains avantages n’aient été accordé qu’aux membres du bureau de l’Assemblée.
Dans l’auguste salle de la plénière tout le monde l’a noté pour s’en plaindre: l’absentéisme de plusieurs députés au cours des trente jours de la session.
Le Président de l’Assemblée nationale en a profité pour fustiger lors d’une plénière » ces absences non justifiées ».
D’après notre source, ce sont les députés dits »ordinaires » qui n’ont pas montré leur intérêt à prendre par aux travaux afin »d’exprimer leur mécontentement » a ajouté la source.
Un colère justifiée par le fait que » seuls les membres du bureau de la chambre ont reçu des dotations de véhicules de fonction dans le cadre de la législature en cours » a précisé la même source.
Des informations proches du dossier, on apprend qu’en début de la présente législature, »le premier Vice-président de l’Assemblée nationale aurait reçu 70 millions de FCFA pour l’achat de sa voiture de fonction. Tandis que les cinq autres Vice -Président ont perçu chacun 60 millions de FCFA. Les questeurs pour leur part ont eu droit chacun à 50 millions de FCFA et chaque secrétaire du bureau de la chambre a empoché 45 millions de FCFA ».
Le reste des députés baptisés ici »ordinaires » a dû se contenter de 10 millions perçu l’année dernière comme dotation pour l’achat d’un véhicule » nous a révélé notre source.
Un acte qui a fait déborder le vase chez les députés dits » ordinaires » qui se plaignaient déjà d’être » les parents pauvres de l’assemblée nationale » à la lumière de leur renumeration qui culmine à près de 800.000 FCFA , salaire, indemnités et autres avantages y compris nous a-t-on confié.
Le mécontentement de l’avis de ce responsable ayant requis l’anonymat » concerne tous les partis politiques représentés ici à l’Assemblée nationale » et une action de ses députés visant » à saisir l’exécutif » est »en préparation » afin d’aboutir à une » augmentation » non seulement de leur renumeration mais aussi des fonds que l’Etat met à leur disposition dans le cadre du financement des micro-projets.
Chère lectrice, Cher lecteur,
Pardon de vous interrompre, mais nous sommes dans le dernier trimestre de l’année 2024 et il sera bientôt trop tard pour nous aider dans cette collecte. Nous vous demandons de repenser au nombre de fois où vous avez consulté Chretiens.com et si vous pouvez donner 1 € au Journal Chrétien. Si chaque personne lisant les publications de ce site donnait 1 €, nous atteindrions notre but en quelques semaines.
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Le Journal Chrétien est au cœur de l'information en ligne.
Seuls 3% des lecteurs font des dons, alors si vous avez donné par le passé et si vous appréciez toujours nos publications, renouvelez votre soutien. Si vous n'avez pas encore décidé, rappelez-vous qu'il n'y a pas de petite contribution, tous les dons aident, qu'ils soient de 1 € ou 100 €.
Vos dons sont déductibles d'impôts
Si vous êtes un particulier résidant en France, vos dons sont déductibles à 66% de votre impôt sur le revenu, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.Si vous êtes une entreprise française assujettie à l’IR ou l’IS, 60% de votre don au Journal Chrétien est déductible de l’impôt sur les sociétés, dans la limite de 5‰ du chiffre d’affaires. La réduction d’impôts sur le montant excédant ce plafond est reportable sur les 5 années suivant celle du don.
Chaque donateur reçoit immédiatement un reçu fiscal émis par J’aime l’info, une association reconnue d’intérêt général, qui a pour objet le soutien au pluralisme de l’information et la défense d’une presse numérique indépendante et de qualité.