Qui ou quoi conduit réellement ta vie ?
Peut-être nous avons donné notre vie à Jésus et en avons fait notre maître. La conduit-il vraiment ? La conduit-il en totalité ou en partie ? Lui ai-je donné tous les pouvoirs sur moi ? En d’autres mots, qu’elle est la force qui dirige et motive ma vie ? En ce moment, vous êtes peut-être subjugué par un problème, un délai à respecter, un souvenir pénible, une peur, une superstition, un look. De nombreuses circonstances peuvent conduire et conditionner notre vie. Se laisser conduire pas la culpabilité : Passes-tu ton temps à te laisser miner par des regrets et à cacher ce qui te détresse ? Finalement, c’est ton passé qui mine ton présent et ton futur. En d’autres mots, tu te punis toi-même. Se laisser conduire pas la colère ou la rancune : Ne pas tourner la page, on se renferme sur soi-même, et finalement on se fait plus de mal à soi-même que ce que les autres nous ont fait. La peur ou la crainte nous paralysent : C’est le résultat des mauvaises expériences, d’espoirs qui ont mal tourné. On craint de se lancer dans une nouvelle mauvaise expérience, on évite le risque. La peur devient une prison que l’on construit tout seul et qui nous empêche d’être soi-même. Se laisser conduire par les choses matérielles : C’est le désir d’acquérir qui devient l’objectif principal, car plus j’aurais plus je serais heureux. Penser que posséder plus donnera la sécurité. Mais les biens matériels ne procureront qu’une joie passagère et éphémère, car les choses matérielles ne changent rien aux besoin du cœur. Avoir le désir d’être reconnu et approuvé : Ce besoin de reconnaissance, d’approbation des autres est flatteur ! Aussi pour plaire, on se sacrifie, on souffre. Mais le résultat sera la déception, des illusions inutiles, voir pire une vie peu satisfaisante. Il faut un but dans la vie. Si c’est juste pour se satisfaire, ou satisfaire les autres, cela ne conduit jamais à la satisfaction ou à l’épanouissement véritable de notre vie. Il faut laisser Jésus : Il faut laisser Jésus, par sa parole et son Esprit, nous débarrasser de tout ce qui encombre notre cœur et lui la laisser véritablement la conduire. Se passionner pour Dieu, connaître et accepter ses plans pour moi, voilà le remède efficace pour avoir vraiment un sens à notre vie et un plein repos…
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Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?