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Les rameaux d’espérance!

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Le temps paraissait long, dans l’arche de Noé !
Pendant quarante jours, la pluie n’avait cessé
Et cet homme attendait, la fin des grandes eaux
La colombe apparut, en son bec un rameau.

Rameau d’espérance, le ciel s’est éclairci
Rameau de l’alliance, annonçant Jésus-Christ
Le temps de la grâce, est pour toi maintenant
La porte est ouverte, elle est ouverte en grand !

La foule se pressait, pour voir Jésus passer
Vêtements et rameaux, sur son chemin, jetés
Et grande était la joie, le Messie était là !
Plusieurs voix s’élevaient, et criaient : Hosanna !

Rameaux de louange, et de reconnaissance
Rameaux d’adoration, et de réjouissance
Car ton Roi vient à toi, monté sur un ânon
Reçois-le par la foi, viens acclamer son nom !

Frappé par le roseau, par celui du moqueur
Offrant le vinaigre, à Jésus le Seigneur
C’était l’heure de la croix, c’était l’heure du rachat
Et après un grand cri, Jésus-Christ expira.

Rameau de souffrance, et le prix à payer
Rameau d’obéissance, Jésus nous a sauvés
Il a pris ta place, sur la mont Golgotha
Son salut est précieux, ne le refuse pas.

Lecture : Marc 11 v 8-9 :« Beaucoup de gens étendirent leurs vêtements sur le chemin, et d’autres des branches qu’ils coupèrent dans les champs. Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! »

Ces rameaux, mis en poésie retracent des évènements qui ont marqué l’histoire de notre humanité. C’est l’arche de Noé avec la colombe qui revient vers lui avec un rameau d’olivier dans son bec annonçant ainsi que le déluge prenait fin et qu’arrivait le temps de la délivrance. Cette arche était annonciatrice de l’œuvre de Christ, qui prêchant le message de la grâce invitait chacun à entrer dans cette arche d’espérance et d’abondance. C’est toujours le temps de la grâce que nous pouvons saisir par la foi.
Nous avons également retenu cet épisode, où plusieurs personnes acclamèrent le Fils de Dieu, le Messie. Mais l’émotion ne suffit pas, il nous faut adhérer à son œuvre salvatrice par une véritable conversion ; nous savons par les évangiles, que quelques jours après ces acclamations, viendront les insultes et les moqueries. Cela nous amène à parler de ce roseau qui frappa Jésus et au bout duquel une éponge imbibée de vinaigre lui fut présentée. Nous pouvons ainsi tirer cette vérité : Jésus a bu la coupe amère, pour que nous enfants de Dieu buvions la coupe des bénédictions. Pensons-y chaque fois que nous prenons la coupe de la cène lors du repas du Seigneur.

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